Née du choc du retour de la guerre sur le continent européen, Kometa raconte le monde là où il bascule, de l’intérieur, à travers les regards de celles et ceux qui le vivent.
Kometa fête sa première année et grandit.
En vous abonnant, vous soutenez des autrices et des auteurs en résistance et un journalisme indépendant de qualité.
Merci d’être à nos côtés !
Une revue magnifique
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Percutante, éclairante, intelligente
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L’exploration d’un monde foisonnant de vie
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⎯ 22 €
Vous recevez chez vous notre revue imprimée sur du papier de qualité, écoresponsable.
Numéro marrainé par Charline Vanhoenecker.
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Complétez votre collection avec les parutions de Kometa. Impérialisme, Liaisons Dangereuses, Fabriquer l’oubli, Qui Aime Encore les États-Unis ? et notre numéro spécial Si l’Arménie était au centre du monde.
Je viens de finir de lire le numéro un et je suis éblouie ! Tous les auteurs que j’aime, Carrère, Iegor Gran, Cedric Gras et tous les autres, photos passionnantes. Bravo, bravo, bravo ! Et courage pour la suite pour maintenir ce niveau !
Marie-Françoise V.
Je suis fan de votre magazine ! C’est une magnifique découverte.
Sabrina
Félicitations pour l’excellence de votre revue. Je n’ai pas pu en décrocher.
Marie-Pascale H.
J’ai acheté tous les numéros depuis le premier, et Kometa a considérablement enrichi ma vision de l’Europe et de l’actualité. J’ai pleuré en lisant plusieurs articles à chaque numéro.
Camille H.
En 2025, Kometa passe d’un rythme trimestriel à bimestriel.
Notre souhait, vous offrir un plaisir de lecture plus fréquent, plus fluide, et encore plus varié, avec des numéros spéciaux pour décentrer le regard, et vous offrir une collection de Kometa sur des pays que nous mettons au centre de la carte.
Kometa est née d’une urgence et d’un sentiment de sidération, après le choc de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie, et le retour de la guerre sur le continent européen.
L’actualité a continué de s’emballer, avec l’attaque du 7 octobre par le Hamas en Israël, l’écrasement de Gaza, la guerre entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, la montée des extrêmes droites en Europe, le regain de tensions à Taïwan, le Moyen-Orient à feu et à sang.
Notre objectif : garder la mémoire de cette époque tourmentée, et donner des clés de compréhension pour vivre le présent.
Kometa raconte le monde là où il bascule, de l’intérieur, à travers les mots et les regards de celles et ceux qui le vivent. Depuis un an, nous avons publié près de 1 000 pages sans publicité, produites par plus de 100 auteurs, 130 photographes, une cinquantaine de chercheurs. Des talents connus en France, mais aussi des Emmanuel Carrère étrangers que vous ne connaissiez probablement pas auparavant.
Des voix plurielles, polyphoniques, pour faire circuler les idées, renverser les regards, tordre les clichés. Nombreux sont menacés ou en exil, nous renforçons notre soutien éditorial et financier auprès d’eux.
“Le rire est ce qu’il nous reste d’élégance pour regarder le monde sans être assommés par sa brutalité”, dit l’acteur et réalisateur Reda Kateb. Depuis son origine, Kometa a publié les récits malicieux d’Emmanuel Carrère, de la franco-bosniaque Jakuta Alikavazovic, de la bulgare Elitza Gueorguieva, de l’ukrainien Artem Chapeye, du franco-palestinien Karim Kattan, des écrivains dissidents Iegor Gran et Sacha Filipenko.
Des histoires à la fois intimes et politiques avec du décalage, de l’ironie, pour nous aider à vivre le réel. Notre numéro de janvier explore les ressorts du rire, puissant moyen de résistance face à l’oppression. Il aura pour marraine la journaliste Charline Vanhoenacker.
On ironise parfois sur ces Américains qui ne savent pas placer Paris ou Bruxelles sur une carte, mais nous, quelles villes savons-nous situer en Europe, et dans le monde ? C’est pour continuer à décrypter l’inconnu que la revue Kometa grandit, avec des récits, des photos, des cartes, des enquêtes mêlant l’intime et le politique.
En vous abonnant à Kometa, vous devenez partie prenante d’un projet qui valorise l’engagement citoyen, le regard critique et l’audace intellectuelle. Parce que la littérature, la poésie, le cinéma, la musique, l’art, nous relient par-delà les frontières, nous enrichissons nos articles et recommandations culturelles.
Fermez les yeux. Ouvrez-les. Le monde n’a peut-être pas changé mais vos rêves ont la saveur de l’ailleurs.
“Il y a quelque chose qui va se passer et ce sera collectif”, écrit Virginie Despentes. En lançant Kometa, nous n’imaginions pas créer un tel réseau d’auteurs, photographes, chercheurs, investis et engagés, au-delà des frontières qui nous divisent. Très concrètement, en participant à cette campagne, vous ne recevez pas seulement des revues chez vous, mais vous contribuez à financer leur travail.
Nous n’appartenons à aucun groupe de presse. Pour amorcer notre décollage, nous avons réalisé une levée de fonds auprès de sept investisseurs privés. Aucun ne possède plus de 20 % des actions et nous avons ancré notre indépendance dans nos statuts, écrits par Benoît Huet, avocat spécialiste du droit de la presse. Ils garantissent aux cinq cofondateurs la définition de la ligne éditoriale et du contenu, libre de toute influence.
Kometa étant une revue sans publicité, notre pérennité dépend de celles et ceux qui nous lisent. Les abonnements sont la clef de l’existence d’une revue. Ils nous placent en relation directe avec vous, lectrices et lecteurs, et nous offrent une visibilité.
Produire une revue est un pari aussi fou que celui de capturer une étoile. Chaque numéro est imprimé en France, sur du papier de qualité, éco-responsable. Ces choix sont très coûteux. Une revue, c’est un livre que l’on garde et que l’on (ré)ouvre avec plaisir. En vous abonnant à Kometa, vous participez à cette approche de collectionneur.
Un magnifique projet
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Une maquette maîtrisée, aérée et dans le même temps percutante
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Un magnifique projet
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Une maquette maîtrisée, aérée et dans le même temps percutante
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Léna Mauger est journaliste, directrice de collection aux éditions Stock.
Elle a été rédactrice en chef de la revue XXI, un trimestriel de grand reportage, et de 6Mois, un semestriel de photojournalisme.
Elle a publié Les évaporés du Japon (Éditions Les Arènes), en cours d’adaptation au cinéma.
Installée à Marseille, elle est la directrice de la publication et rédactrice en chef de Kometa.
Perrine Daubas est spécialisée dans le développement des médias et des ONG.
Elle a été directrice du développement et de la communication de Reporters sans frontières, directrice exécutive de la revue La Déferlante.
Elle est également autrice de deux livres sur la philanthropie.
Elle est directrice générale de Kometa.
Serge Michel est journaliste et rédacteur en chef du média suisse Heidi.news.
Prix Albert Londres en 2001 pour son travail en Iran, il a créé le Bondy Blog en 2005 et a été directeur adjoint du Monde.
Avec Paolo Woods, il a écrit La Chinafrique (Grasset, 2008) et Marche sur mes yeux, portrait de l’Iran aujourd’hui (Grasset, 2010).
Paolo Woods, photographe et réalisateur, est basé en Italie.
Ses projets de long terme mêlent la photo aux mots. Fondateur du collectif Riverboom, directeur artistique du festival Cortona the Move, il est l’auteur de huit livres et son travail a été publié dans la presse internationale, du Guardian à National Geographic.
Grégory Rozières est journaliste.
Basé à Paris, il pilote des projets d’innovation éditoriale au Temps à Genève.
Il a été rédacteur en chef adjoint de Heidi.news et a travaillé 10 ans au HuffPost où il était responsable des rubriques Sciences, Environnement et Nouveaux formats.
Christophe Boltanski, journaliste et écrivain ⎯⎯ Flore de Borde, journaliste ⎯⎯ Emmanuel Carrère, écrivain ⎯⎯ Anna Colin Lebedev, chercheuse ⎯⎯ Anastasia Forquenot De La Fortelle, chercheuse ⎯⎯ Iegor Gran, écrivain ⎯⎯ Pierre Haski, journaliste ⎯⎯ Nathalie Herschdorfer, commissaire d’exposition et historienne de l’art ⎯⎯ Andreï Kourkov, écrivain ukrainien ⎯⎯ Jarosław Kuisz, chercheur polonais ⎯⎯ Sofia Surgutchova, agente d’artistes russo-ukrainienne.
Haydée Sabéran, rédactrice en chef adjointe ⎯⎯ Silouane Bourel, Lou Callegari, Marie Parquet, journalistes ⎯⎯ Marion Durand, directrice photo ⎯⎯ Robin Emptaz, développement numérique ⎯⎯ Agnès Dahan Studio avec Valentine Fiat, direction artistique et maquette ⎯⎯ Clément Balta, chef d’édition ⎯⎯ Sarah Ahnou, révision ⎯⎯ Christine Debiais Brendle, direction financière et commerciale ⎯⎯ Melina Ferrante-Giovannoni, coordination administrative et financière ⎯⎯ Les Artisans du Regard, photogravure ⎯⎯ Hachette Diffusion, diffusion ⎯⎯ Karel Gaultier, président du conseil d’administration ⎯⎯ François Solignac, Grégoire Fabre, Pascaline Segard, abonnés fondateurs ⎯⎯ Alina Gurdiel, attachée de presse ⎯⎯ Lisa Launey avec la voix de Crystal Shepherd-Cross, vidéoclip
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Contactez-nous à l’adresse : abonnement@kometarevue.com.
